Pour commencer, donc, on s’intéresse aux rapports entre la France et le Liban. Ils n’ont jamais été simples, et ils se sont encore compliqués depuis le terrible accident qui a touché l’été dernier la capitale du Pays du Cèdre, Beyrouth.
Le port de Beyrouth porte encore les stigmates de la catastrophe du 4 août 2020. Immeubles éventrés, entrepôts calcinés, montagnes de gravats… : l’aspect du port rappelle la puissance de la déflagration qui a dévasté ce jour-là une partie de la capitale du Liban. Plus de 200 personnes ont perdu la vie dans la tragédie, qui a aussi fait des milliers de blessés. Un an après, l’enquête sur l’accident piétine. Et la reconstruction n’a pas commencé dans un pays plongé dans une profonde crise économique et sociale, aggravée par une paralysie politique. C’est d’ailleurs pour tenter de freiner la détérioration de la situation libanaise que la France organise aujourd’hui une Conférence d’aide internationale au Liban.
Emmanuel Macron n’a pas échappé à la tradition. Comme ses prédécesseurs Jacques Chirac et François Hollande, le président français s’est vu offrir plusieurs colliers de fleurs à peine arrivé en Polynésie française. Et c’est donc paré de gardénias blanches et roses, symboles de l’archipel, qu’il a commencé, samedi 24 juillet, sa première visite dans le territoire depuis son arrivée à la tête du pays, en 2017. Un déplacement de quatre jours, qui s’inscrit dans le cadre du « tour de France » lancé par le chef de l’État pour aller à la rencontre des citoyens avant les élections du printemps procha
En Australie et en Italie, la fin du mois de juillet a été stressante. En cause : la réunion du Comité du Patrimoine mondial de l’Unesco, l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture. Réunis jusqu’à samedi dernier, les membres de ce Comité avaient, comme chaque année, la responsabilité de décerner les bons et les mauvais points dans la gestion des biens culturels de l’humanité. Ils ajoutent de nouveaux sites à la prestigieuse liste, mais ils peuvent aussi retirer le label de l’Unesco, ou le mettre en suspens, en considérant que le patrimoine est en péril. C’est p
C’est une vieille lutte entre les courants traditionaliste et progressiste de l’Église catholique, et le Pape François a tranché. Vendredi 16 juillet, il a annoncé un encadrement plus strict de la messe ancienne, prononcée en latin. Dans un décret consacré au sujet, il a décidé que ce seront désormais les évêques qui auront la compétence exclusive d’autoriser ces liturgies traditionnelles dans chaque diocèse. Ils devront déterminer notamment l’église et les jours de célébration. Dans les faits, cela revient à mieux contrôler – et à limiter – l’office en latin, très prisé par les catholiques tr
Les spectateurs français sont sous le charme du Roi Arthur. Mais attention, pas n’importe lequel : celui de « Kaamelott. » Un monarque un peu dépassé et paresseux, un peu rustre et coureur de jupons, entouré de Chevaliers de la Table Ronde qui ne brillent ni pour leur valeur ni pour leur intelligence. « Kaamelott – Premier Volet », sorti en salle le 21 juillet, a dépassé le million d’entrées en une semaine. Le premier long-métrage de la trilogie d’Alexandre Astier, réalisateur et acteur principal, n’a pas souffert des nouvelles restrictions sanitaires imposées par le gouvernement, qui obligent