Qui va représenter la droite aux présidentielles de 2022 ? Et surtout, comment départager les nombreux candidats entre eux ? Ce sont les questions que se pose, avec de plus en plus d’inquiétude, l'état-major du parti Les Républicains. La contamination due au variant Delta du Covid gagne du terrain en France. Pour éviter une nouvelle catastrophe, le gouvernement lance une campagne de rappel de vaccin pour les plus fragiles. Une troisième dose. La Haute Autorité de Santé se montre très prudente quant à cette décision. Qui a raison ? À Paris, le drapeaude la flamme olympique vient d'arriver en grande pompe car dans trois ans nous accueillerons les Jeux Olympiques d'été. À l'heure actuelle, une seule angoisse domine : serons-nous prêts à temps ? Au niveau mondial, une question hante la planète : allons-nous être capables de préserver notre bonne vieille terre ? Le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat vient de tomber. Il est accablant. Les activités humaines menacent notre survie. Il est temps d'agir. Mais allons-nous pouvoir réagir globalement ? Le réchauffement du climat a provoqué, entre autres, d'immenses incendies en Turquie. Le président Erdogan a cependant choisi la stratégie du silence. Il a réprimé un peu plus encore les médias et attaqué le hashtag #HelpTurkey. À quand la liberté d'informer ?
Si les Français sont en vacances, les états-majors politiques, eux, ont les yeux fixés sur avril 2022 : la prochaine élection présidentielle. Chacun cherche le meilleur candidat possible. À droite, c’est un peu la foire d’empoigne.
Finalement, c'est imaginable. La droite va peut-être être en capacité de remporter les élections présidentielles du 24 avril 2022. Mais à une seule condition : qu'elle réussisse à se rassembler autour d'un seul candidat. C'est le constat auquel est arrivé, juste avant l'été, le patron du groupe Les Républicains, Christian Jacob, épaulé par le président du Sénat, Gérard Larcher. Si vu des bureaux des responsables politiques ce raisonnement semble facile à mettre en œuvre, dans les faits, on en est très loin. Trois principaux candidats se détachent du lot des potentiels aspirants à la fonction suprême. Comment les départager pour gagner ? C'est la question de l'été, comme le relate le quotidien Le Monde du 13 août dernier.
La situation n'est plus tenable. Au beau milieu de l'été, le variant Delta du Covid circule en toute liberté et contamine à tour de bras. En Guadeloupe et en Martinique, le système hospitalier explose, les îles sont reconfinées. En métropole, la situation est très différente selon les régions mais certaines zones – le sud du pays, de Nice à Pau – sont très impactées. Face à ce qu'il faut bien désormais appeler une quatrième vague, le gouvernement a décidé, le 11 août, qu'une campagne de rappel du vaccin va démarrer à la rentrée. En clair, l'injection d'une troisième, voire d'une quatrième dose
Il est arrivé. Le lundi 9 août, le drapeau olympique est arrivé à l'aéroport de Roissy-Charles-de- Gaulle, à 14 h 40. Dès sa descente de l'avion, Anne Hidalgo, la maire de Paris, a brandi le précieux trophée ramené de Tokyo. Il a d'abord fait une escale à l’Hôtel de Ville, où il a été hissé, à 17 h 00. Puis, l'emblème a filé sur le parvis du Trocadéro pour retrouver trois cents personnes, dont des sportifs comme Rudy Gobert, Nicolas Batum ou Sandrine Gruda, capitaine de l'équipe de France féminine de basket. Il a fini sa tournée au pied de la tour Eiffel, où des centaines de fans l'attendaient
C'est une mauvaise nouvelle. Une nouvelle à laquelle on s'attendait, mais que l'on redoutait. Le lundi 9 août, le doute n'est, hélas, plus permis. Le climat va continuer de se dérégler, se dégrader et les catastrophes naturelles vont s'enchaîner. Sur toute la planète. C'est ce qu'il ressort du rapport du GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
Concrètement, comme l'explique le quotidien Le Monde, qui a lu cette étude, « l’élévation de la température de l’air et de l’océan, la fonte des glaciers ou la hausse du niveau des mers s’aggravent à un rythme et avec une
C'est l'histoire de deux petits mots et d'un signe qui ont mis le président d'un pays de plus de 80 millions d'habitants dans une colère noire. C'est aussi un symbole de liberté qui est étouffé. Le coupable ? Le hashtag #HelpTurkey repris par nombre de citoyens turcs pour demander une aide internationale en urgence afin de combattre les terribles incendies qui ravagent le sud du pays. Un appel qui a déplu à Recep Tayyip Erdogan, comme le rapporte France 24, du 8 août. Le président a fini par faire taire toute critique. Son mot d'ordre : Silence, il ne se passe rien !
Pourtant, depuis le 28 jui