Merci à Merkel et Macron, qui relancent enfin l'Union européenne. Il y a urgence, sous peine de voir notre vieille et belle Europe rendre l'âme.
Macron et Merkel : En route pour l'Europe
Savez-vous ce que sont des « Chamallows » ? Non ? Je vous explique. Il s'agit d'un bonbon blanc ou rose, en forme de petit cube, à base de guimauve et de sucre. Les petits l'adorent parce qu'il est tellement mou que l'on peut tirer dessus longtemps avant qu'il ne se scinde en deux. Eh bien, aujourd'hui, lorsque je pense à l'Europe, c'est l'image du Chamallow de mon enfance qui me vient à l'esprit. Un ventre mou, des contours qui se dilatent, ou se rétractent, suivant les moments et les dirigeants. Bref, une chose informe qui ne ressemble plus à grand chose. Telle est malheureusement notre Union actuellement, amputée par le Brexit, paralysée par la crise migratoire et les différentes politiques fiscales, en passe d'idées, de force et de volonté pour avancer.
L'Autriche avait dit oui à Hitler
Les événements méritent d'être racontés à nouveau. Nous sommes le 11 mars 1938. La radio autrichienne annonce que, finalement, le chancelier n'organisera pas de référendum pour demander à son pays s'il souhaite rester indépendant. Puis, cet ultra-conservateur démissionne. Pour les Nazis autrichiens, la voie est libre. Dans la nuit, ils occupent les différents lieux de pouvoir. Le 12 mars 1938, à l'aube, les 200 000 soldats, SS et policiers allemands envoyés par Hitler franchissent alors allègrement la frontière austro-allemande. Ils ne rencontrent aucune résistance. Bien au contraire, tout au
Changement de nom au Front National : Beaucoup de bruit pour rien
On ne peut jamais jurer de rien. Tenez, moi, par exemple, je n'aurais jamais imaginé me retrouver, un jour, en position de souhaiter une belle longévité politique à Marine Le Pen. Et pourtant, depuis le week-end du 10-11 mars, je me dis que je pourrais peut-être finir par regretter la dirigeante du Front National : sa successeure potentielle, sa nièce, m'inquiète plus encore. Or, j'ai bien l'impression que l'on n'est peut-être pas si loin d'un changement de génération.
Car depuis son débat télévisé raté, face à Emmanuel Macron, juste avant le second tour des élections présidentielles de mai 20
Bertrand Cantat : la célébrité donne-t-elle tous les droits ?
Les mots sont explicites. « Ferme ta gueule et fais-toi oublier », écrit le réalisateur de polars, Olivier Marchal, sur son compte Instagram. « Cantat, casse-toi », hurlent des féministes venues protester contre le chanteur Bertrand Cantat, en concert à Grenoble, le 14 mars au soir.
« Assassin », « tueur ».... Il ne se passe plus un jour sans que le leader du groupe « Noir Désir » ne soit mentionné. Au point que le quotidien Le Parisien se demandait le 15 mars : « Bertrand Cantat peut-il continuer les concerts ? ». Peut-il poursuivre la tournée qu'il avait projetée pour faire la promotion de
Hubert de Givenchy : La disparition de l'homme le plus élégant du monde
Il avait deux préceptes : « la robe doit suivre le corps d'une femme, et non l'inverse. »Et encore : « Le secret de l'élégance, c'est d'avoir l'air d'être soi-même. » Ainsi parlait Hubert James Taffin de Givenchy, le créateur qui a habillé Audrey Hepburn, sa muse, Grace Kelly, Jackie Kennedy, mais aussi Brigitte Bardot ou Jeanne Moreau. Ainsi s'exprimait l'aristocrate qui durant des décennies a symbolisé l’élégance à la française et qui, à 91 ans, vient de nous quitter. C'était le samedi 10 mars au soir, mais la presse n'en a été informée que deux jours plus tard, par un bref message de son co