On commence tout de suite, avec un focus sur le Tour de France. La plus grande course cycliste du monde s’est terminée dimanche 20 septembre. Remportée par le jeune slovène Tadej Pogacar, elle restera dans l’histoire comme l’édition du coronavirus…
Il y a trois semaines, au départ de Nice, la question était sur toutes les lèvres : les coureurs du Tour de France réussiraient-ils à rallier Paris sans encombre ? Depuis dimanche, on le sait, la réponse est oui. Sur les 176 coureurs qui s’étaient élancés fin août, une trentaine a abandonné en route, mais c’est à peu près dans la moyenne de ces dernières années. Les abandons ont été liés à la fatigue ou à des blessures. Aucun coureur n’a renoncé à cause d’un positif au coronavirus, et aucune équipe n’a dû quitter la course pour risque de contagion.
Pour les organisateurs de la Grande Boucle,
Ces dernières semaines, les habitants de Paris ont vu fleurir de curieuses publicités dans leur environnement quotidien. Dans les journaux et les hebdomadaires, dans les couloirs du métro, sur les autobus ou sur les traditionnelles colonnes Morris, il n’y a pas que les parfums, les films et les livres qui s’affichent. Désormais, il y a aussi… des villes et des départements de province ! Une visibilité nouvelle, avec un objectif précis : séduire les Parisiens qui cherchent à abandonner la capitale.
Ainsi, le département de l’Orne, en Normandie, vante dans les revues ses espaces verts et son co
Au cours de l’été qui vient de se terminer, un anniversaire est largement passé inaperçu : celui de la crise des réfugiés en Europe. C’était il y a cinq ans, en 2015. Pendant plusieurs mois, des centaines de milliers de personnes avaient tenté de rejoindre le continent européen par tous les moyens : à pied, en bateau ou à bord de voitures et camions. Des hommes, des femmes, des enfants et des personnes âgées qui avaient tout abandonné derrière eux pour fuir les horreurs des conflits qui frappaient la Syrie, l’Irak ou la Libye.
Ce grand exode de 2015 s’est accompagné de tragédies, comme la mort
La saison de chasse vient à peine de commencer en France, mais les chasseurs ont déjà le cœur lourd. Samedi 12 septembre, ils étaient un millier, venus de tout le pays, à défiler dans les rues de Prades, une petite bourgade des Pyrénées, pour protester contre les politiques du gouvernement à leur encontre. Le choix de la ville n’était pas un hasard : jusqu’au début de l’été, le maire de Prades était… Jean Castex, nommé depuis Premier ministre par le président Emmanuel Macron.
Les griefs des chasseurs contre l’exécutif sont nombreux. Fin août, ils ont essuyé un premier revers avec l’annonce par
L’histoire est bien connue des amateurs de reggae. En 1968, un groupe de trois jeunes musiciens et chanteurs jamaïcains lance le tube « Do the Reggay ». Ce groupe, c’est Toots and the Maytals. La chanson a été écrite par le leader de la bande, Frederick Nathaniel Hibbert, plus connu sous le nom de « Toots. » Le succès est au rendez-vous pour le titre, qui va marquer un tournant dans l’histoire de la musique jamaïcaine : c’est la première fois que le mot reggae est employé dans une chanson, et c’est ce mot qui va être utilisé pour définir le nouveau courant musical né à Kingston. La musique et