On commence sans plus tarder avec les nouvelles décisions prises par les autorités françaises pour lutter contre la pandémie de coronavirus. Tout le monde attendait un confinement. Ce ne sera pas le cas, mais les restrictions restent considérables.
Emmanuel Macron a fini par trancher. Vendredi dernier, après la convocation en urgence au Palais de l’Élysée du conseil de défense sanitaire, les Français s’attendaient à une prise de parole de leur chef de l'État pour annoncer un nouveau confinement. Il n’en est rien été : Macron n’a pas parlé, et c’est le chef de l’exécutif, Jean Castex, qui s’est exprimé dans la soirée devant les médias. Le Premier ministre a annoncé de nouvelles restrictions, comme la fermeture des centres commerciaux non alimentaires et l’obligation d’un test PCR négatif pour les voyageurs en provenance d’un pays de l’Union européenne.
Comme toujours au cœur de l’hiver, un beau manteau blanc recouvre la petite bourgade de Davos, dans l’est de la Suisse. La neige est, une nouvelle fois, au rendez-vous, mais les rues de la station de ski sonnent désespérément creux. On est loin de l’effervescence des années précédentes, quand Davos voyait défiler les principaux leaders mondiaux. C’était devenu une habitude : fin janvier, le temps d’une semaine, la ville perchée dans les Alpes suisses se convertissait en centre de la mondialisation. Chefs d'État et de gouvernement, responsables de multinationales, intellectuels et journalistes
L’année 2021 n’a pas bien commencé pour Jair Bolsonaro. Depuis plusieurs semaines, les revers s’accumulent pour le président du Brésil. Le week-end du 25 janvier, des dizaines de milliers de Brésiliens sont descendus dans les rues des principales villes du pays pour réclamer sa démission. À Brasilia, plusieurs procédures de destitution ont été lancées par des responsables politiques. Et si, pour l’instant, elles ont peu de chances d’aboutir, elles démontrent la colère qui s’accumule contre le chef de l'État, très critiqué pour sa gestion de la pandémie de coronavirus.
Le Brésil, il faut le rap
Quelque chose ne tourne pas rond dans le football français. Depuis le week-end dernier, le premier sport du pays n’a tout simplement plus de diffuseur. Les supporters ne savent pas sur quelle chaîne ils vont pouvoir suivre les performances de leur équipe dans les prochaines semaines. La situation est inédite, et elle inquiète au plus haut point les instances du foot français. Car l’équation est simple : sans diffuseur, il n’y a pas de droits télévisés. Et sans cette rentrée d’argent, les clubs, déjà privés de public depuis de longs mois, sont en grand danger.
Pour comprendre comment on a pu en
C’est l’histoire d’un service public devenu un ovni dans le paysage radiophonique français. Il y a 50 ans, en janvier 1971, le groupe Radio France lançait une nouvelle formule destinée aux automobilistes parisiens : France Inter Paris. Le concept de FIP, des initiales rapidement adoptées comme acronyme, était simple : offrir de la musique et des informations sur le trafic aux conducteurs coincés dans les embouteillages. Une radio pour « avant l’auto, pendant l’auto, mais pas après », selon la définition du directeur des services radiophoniques français de l’époque.
Un demi-siècle plus tard, le